
Workhorse Group Inc. stock remains steady Thursday, still outperforms marketUne nouvelle controverse secoue la politique camerounaise suite aux accusations de fraude électorale lancées par Maurice Kamto, président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC), à l'encontre de l'ancien député Ali Bachir. Cette affaire met en lumière les tensions croissantes dans le contexte des élections Cameroun prévues en 2025. L'affaire débute le 19 décembre 2024, lorsque le leader de l'opposition camerounaise publie une déclaration concernant une photo devenue virale sur les réseaux sociaux. Cette image montrerait, selon lui, un militant du RDPC Cameroun en possession d'un stock important de cartes nationales d'identité, suggérant une possible préparation de fraude électorale. googletag.cmd.push(function(){googletag.display('div-gpt-async-ad-inread-a');}); Dans sa réponse, Ali Bachir, membre du Comité central du RDPC, dénonce fermement ces accusations qu'il qualifie de non fondées. L'ancien député de la Vina souligne ses 34 années d'expérience politique et ses dix-sept ans de mandat électif, réfutant toute implication dans des activités frauduleuses. La controverse soulève des questions importantes sur la vérification des sources dans le débat politique camerounais. Ali Bachir critique notamment l'empressement de Maurice Kamto à porter des accusations graves sans vérification préalable de l'authenticité du document en question, qui ne présente selon lui aucun élément permettant d'identifier le lieu, la date ou le contexte de sa création. Le membre du RDPC rappelle l'engagement de son parti en faveur de la transparence et de l'équité, sous la direction du Président Paul Biya. Il souligne que les succès électoraux du RDPC dans la région de l'Adamaoua reposent sur un travail de terrain approfondi et des actions de proximité auprès des différentes couches sociales. Cette polémique intervient à un moment crucial, à l'approche de l'élection présidentielle de 2025 et des élections législatives et municipales de 2026. Elle met en évidence les tensions croissantes entre les différentes forces politiques du pays et soulève des questions sur la qualité du débat politique au Cameroun. Ali Bachir appelle à plus de responsabilité dans le débat public, critiquant une approche qu'il qualifie de populiste et qui, selon lui, ne sert qu'à polariser davantage l'espace politique camerounais. Il plaide pour un retour à la sérénité et à la cohésion sociale, essentielles au bon fonctionnement démocratique du pays. COMMUNIQUE DE PRESSE Dans une déclaration rendue publique le 19 décembre 2024, le président national du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) tente de m'associer à une vidéo devenue virale, selon sa propre description. Selon Monsieur Maurice Kamto, « cette vidéo scandaleuse montre un individu, vraisemblablement un militant du RDPC si l'on en juge par son accoutrement assis devant un important stock de cartes nationale d'identité ». Le président du MRC s'appuie sur le commentaire accompagnant la photo (en lieu et place d'une vidéo) en question pour m'indexer directement : « les commentaires qui accompagnent la vidéo font ressortir le nom d'un ancien député de la Vina, dans l'Adamaoua, Monsieur Ali Bachir, comme pouvant être celui qui, dans l'ombre, mettrait en place, avec les autorités de la police nationale... ce qu'il considère comme un « dispositif de fraude électorale ». Et de conclure sa déclaration avec légèreté, sans recul que devrait avoir une personnalité politique de sa trempe, à l'ouverture d'une enquête. « monsieur Ali Bachir, membre du Comité central du RDPC et Président de section de ce parti dans la Vina, dont le nom est cité dans la vidéo, doit être interpellé pour enquête », écrit-il. Il est regrettable que Monsieur Maurice Kamto n'ait pas pris la précaution préalable et élémentaire de vérification de l'authenticité d'une voix anonyme associée à une photo mise en circulation sur les réseaux sociaux et qui ne fournit aucun indice de lieu, de date et du contexte de son montage, encore moins de l'identité de la personne qui y apparaît et de la voix qui y est associée. Par ailleurs, on peut s'étonner de la facilité de Monsieur Maurice Kamto à crier à la préparation d'une fraude electorale, sans enquête préliminaire, d'un ancien député de la Nation sur la base d'une accusation lancée dans une photo qui m'est totalement étrangère et partagée sur les réseaux sociaux. Quoi qu'il en soit, je tiens à affirmer sans équivoque que je ne suis ni de près ni de loin concerné par cette photo que j'ai découverte sur internet, et ma pratique honorable de la politique depuis bientôt 34 ans, avec plusieurs mandats du peuple, m'éloigne des opérations scabreuses qui sont décrites dans ce montage grossier et insipide en circulation. Par la même occasion, je réaffirme mon attachement au RDPC, parti dont je partage les valeurs de transparence, d'équité et de justice. Grâce au leadership de son Président National, Son Excellence Paul Biya, et porté par une dynamique sans cesse renouvelée, le RDPC a remporté haut la main et sans bavures de nombreuses compétitions électorales dans la Vina et la Région de l'Adamaoua. La fraude électorale par quelque moyen que ce soit n'est ni une méthode de mon Parti, ni un recours pour ses militants. A l'aube de l'élection présidentielle de 2025 et des Législatives et Municipales de 2026, le RDPC poursuit son travail de terrain dans ma circonscription électorale par des actions de proximité auprès des différentes classes sociales et de mobilisation de son électorat. C'est en oeuvrant ainsi que j'ai à mon actif dix sept ans de mandat électif en tant que élu du peuple et non par la tricherie ou la fraude électorale. Enfin, qu'il me soit permis de dire que les Camerounais attendent de nos acteurs politiques de la hauteur, de la classe et une certaine élégance dans leurs agissements et prises de position fussent-elles partisanes. La logique politicienne voire populiste ne sert qu'à polariser et à polluer un espace public qui a davantage besoin de sérénité, de bonne foi et de cohésion sociale. Lire l'article original sur Camer.be .
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Stock Radar: Down 20% from highs! PCBL breaks out of inverse Head & Shoulder pattern; time to buy?CAPE CANAVERAL, Fla. — Known across the globe as the stuck astronauts, hit the six-month mark in space Thursday with two more to go. The pair , the first to ride Boeing's new Starliner crew capsule on what was supposed to be a weeklong test flight. They arrived at the International Space Station the next day, only after overcoming a cascade of . NASA deemed the capsule too risky for a return flight, so it will be February before their long and trying mission comes to a close. While NASA managers bristle at calling them stuck or stranded, the two retired Navy captains shrug off the description of their plight. They insist they're fine and accepting of their fate. Wilmore views it as a detour of sorts: "We're just on a different path." NASA astronauts Suni Williams, left, and Butch Wilmore stand together for a photo June 5 as they head to the launch pad at Space Launch Complex 41 in Cape Canaveral, Fla., for their liftoff on the Boeing Starliner capsule to the International Space Station. "I like everything about being up here," Williams told students Wednesday from an elementary school named for her in Needham, Massachusetts, her hometown. "Just living in space is super fun." Both astronauts lived up there before, so they quickly became full-fledged members of the crew, helping with science experiments and chores like fixing a broken toilet, vacuuming the air vents and watering the plants. Williams took over as station commander in September. "Mindset does go a long way," Wilmore said in response to a question from Nashville first graders in October. He's from Mount Juliet, Tennessee. "I don't look at these situations in life as being downers." Boeing in September, and NASA moved Wilmore and Williams to a not due back until late February. Two other astronauts were bumped to make room and to keep to a six-month schedule for crew rotations. Boeing Crew Flight Test astronauts Butch Wilmore, left, and Suni Williams pose for a portrait June 13 inside the vestibule between the forward port on the International Space Station's Harmony module and Boeing's Starliner spacecraft. Like other station crews, Wilmore and Williams trained for spacewalks and any unexpected situations that might arise. "When the crews go up, they know they could be there for up to a year," NASA Associate Administrator Jim Free said. found that out the hard way when the Russian Space Agency had to rush up a replacement capsule for him and two cosmonauts in 2023, pushing their six-month mission to just past a year. Boeing said this week that input from Wilmore and Williams was "invaluable" in the ongoing inquiry of what went wrong. The company said it is preparing for Starliner's next flight but declined to comment on when it might launch again. NASA also has high praise for the pair. "Whether it was luck or whether it was selection, they were great folks to have for this mission," NASA's chief health and medical officer, Dr. JD Polk, said during an interview with The Associated Press. NASA astronauts Suni Williams and Butch Wilmore, both Expedition 71 flight engineers, make pizza Sept. 9 aboard the International Space Station's galley located inside the Unity module. Items are attached to the galley using tape and Velcro to keep them from flying away in the microgravity environment. On top of everything else, Williams, 59, had to deal with "rumors," as she calls them, of serious weight loss. She insists her weight is the same as it was on launch day, which Polk confirms. During Wednesday's student chat, Williams said she didn't have much of an appetite when she first arrived in space. But now she's "super hungry" and eating three meals a day plus snacks, while logging the required two hours of daily exercise. Williams, a distance runner, uses the space station treadmill to support races in her home state. She competed in Cape Cod's 7-mile Falmouth Road Race in August. She ran the 2007 Boston Marathon up there as well. She has a New England Patriots shirt with her for game days, as well as a Red Sox spring training shirt. "Hopefully I'll be home before that happens — but you never know," she said in November. Husband Michael Williams, a retired federal marshal and former Navy aviator, is caring for their dogs back home in Houston. As for Wilmore, 61, he's missing his younger daughter's senior year in high school and his older daughter's theater productions in college. The astronauts in the video seemed to be in good spirits with one stating, “It’s gonna be delicious.” (Scripps News) "We can't deny that being unexpectedly separated, especially during the holidays when the entire family gets together, brings increased yearnings to share the time and events together," his wife, Deanna Wilmore, told the AP in a text this week. Her husband "has it worse than us" since he's confined to the space station and can only connect via video for short periods. "We are certainly looking forward to February!!" she wrote. A SpaceX Falcon 9 rocket, with a crew of two astronauts, lifts off from launch pad 40 at the Cape Canaveral Space Force Station in Cape Canaveral, Fla., Saturday, Sept. 28, 2024. (AP Photo/Chris O'Meara) A SpaceX Falcon 9 rocket, with a crew of two astronauts, lifts off from launch pad 40 at the Cape Canaveral Space Force Station Saturday, Sept. 28, 2024, in Cape Canaveral, Fla. (AP Photo/Chris O'Meara) NASA astronaut Nick Hague, left, and Roscosmos cosmonaut Aleksandr Gorbunov, left, gives a thumbs up as they leave the Operations and Checkout Building on their way to Launch Complex 40 for a mission to the International Space Station Saturday, Sept. 28, 2024 at Cape Canaveral, Fla., (AP Photo/John Raoux) NASA astronaut Nick Hague, right, and Roscosmos cosmonaut Aleksandr Gorbunov leave the Operations and Checkout building for a trip to the launch pad 40 Saturday, Sept. 28, 2024, at the Kennedy Space Center in Cape Canaveral, Fla. (AP Photo/Chris O'Meara) NASA astronaut Nick Hague, right, talks to his family members as Roscosmos cosmonaut Aleksandr Gorbunov looks on after leaving the Operations and Checkout building for a trip to the launch pad 40 Saturday, Sept. 28, 2024, at the Kennedy Space Center in Cape Canaveral, Fla. Two astronauts are beginning a mission to the International Space Station. (AP Photo/Chris O'Meara) In this image from video provided by NASA, Roscosmos cosmonaut Aleksandr Gorbunov, left, and astronaut Nick Hague travel inside a SpaceX capsule en route to the International Space Station after launching from the Kennedy Space Center in Cape Canaveral, Fla., Saturday, Sept. 28, 2024. (NASA via AP) A SpaceX Falcon 9 rocket, with a crew of two astronauts, lifts off from launch pad 40 at the Cape Canaveral Space Force Station Saturday, Sept. 28, 2024, in Cape Canaveral, Fla. (AP Photo/Chris O'Meara) A SpaceX Falcon 9 rocket, with a crew of two astronauts, lifts off from launch pad 40 at the Cape Canaveral Space Force Station in Cape Canaveral, Fla., Saturday, Sept. 28, 2024. (AP Photo/Chris O'Meara) A SpaceX Falcon 9 rocket with a crew of two lifts off from launch pad 40 at the Cape Canaveral Space Force Station Saturday, Sept. 28, 2024 at Cape Canaveral, Fla. (AP Photo/John Raoux) The Falcon 9's first stage booster returns to Landing Zone 1 at the Cape Canaveral Space Force Station Saturday, Sept. 28, 2024 at Cape Canaveral, Fla. (AP Photo/John Raoux) A SpaceX Falcon 9 rocket with a crew of two lifts off from launch pad 40 at the Cape Canaveral Space Force Station Saturday, Sept. 28, 2024 at Cape Canaveral, Fla. (AP Photo/John Raoux) Get local news delivered to your inbox!
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